Nous présentons cet amendement au nom des organisations syndicales, des représentants des salariés qui, dans de nombreuses grandes entreprises, trouvent insupportable de subir un plan social, qu'ils contestent parfois eux-mêmes, alors que ces entreprises bénéficient du soutien de l'État. Je pense bien sûr à Bridgestone qui choisit de fermer son site – même si une négociation est en cours – alors que le groupe bénéficiera, dès l'année prochaine, de la baisse des impôts de production. Ce n'est pas juste, ce n'est pas acceptable.