Cet amendement soulève une question : est-il déjà satisfait par un crédit d'impôt existant ? Le rapporteur général semble indiquer que ce n'est pas le cas, tandis que le ministre délégué dit le contraire. Si l'amendement est satisfait, alors il va de soi qu'il ne faut pas l'adopter. Si en revanche il ne l'est pas, alors la question se pose.
Ne peut-on plutôt envisager, comme dans de nombreux autres secteurs, une mesure budgétaire pour aider le spectacle vivant dans ce moment si particulier où il en a besoin, plutôt qu'une mesure fiscale dès lors que les mesures fiscales, chacun le sait, ont une façon bien à elles de devenir pérennes ? Quoi qu'il en soit, je saurais gré au ministre délégué et au rapporteur général de nous apporter des précisions.