J'avais demandé la parole avant de vous entendre, madame Motin, mais je voudrais réagir à vos propos. Mon argument n'était pas que les tickets restaurant seraient plus avantageux pour les indépendants que le dispositif dont ils bénéficient aujourd'hui. En revanche, s'ils pouvaient y adhérer, ils seraient davantage incités à le proposer à leurs salariés, c'est-à-dire des centaines de milliers de salariés des TPE-PME, qui en sont aujourd'hui privés parce que leur patron n'en voit pas l'intérêt. Tel était mon argument.