Je ne vais pas reprendre tous les arguments qui ont été développés par les collègues, mais je soutiens l'amendement déposé par François Pupponi, pour deux raisons.
Tout d'abord, l'édition musicale, c'est un peu la R& D du secteur : c'est là où l'on prend des risques importants en amont. Nous savons tous que, pendant la crise, on se concentre sur ce qui fonctionne au détriment de la diversité.
Par ailleurs, il faudrait être cohérent et prendre en compte l'ensemble d'une filière ; or l'édition musicale, avant ou pendant la crise, se présente comme un maillon oublié.