Il fait suite au précédent, qui avait trait au secteur musical et qui mettait en lumière la difficulté du métier d'éditeur et les conséquences de la crise sanitaire sur la politique de signature, les contrats avec les nouveaux talents étant évincés au profit de contrats avec les talents plus anciens. Il proposait de créer un crédit d'impôt pour l'édition musicale, reproduisant le dispositif du CIPP.
Je propose là un amendement de repli qui tend à intégrer l'édition musicale au dispositif déjà existant.