Je soutiens ces amendements et je suis ravie que le ministre délégué et le rapporteur général y soient favorables. Je reconnais qu'un effort important est consenti sur le plan budgétaire mais cela ne signifie pas qu'il n'y a pas d'oublis importants – l'un n'empêche pas l'autre. Du reste, je n'ai pas opposé les arguments du rapporteur général à ceux du ministre délégué, mais voulu signifier que le premier était un peu plus logique dans son refus puisqu'il n'acceptait pas de faire bénéficier les éditeurs du crédit d'impôt en faveur de la production phonographique. On ne peut donc pas nous affirmer que ce crédit répond aux problèmes des éditeurs.