Je comprends qu'il soit aujourd'hui difficile de prendre une telle mesure, et je remercie le ministre délégué d'ouvrir une porte à la réflexion. Nous avons le temps – il n'y a pas d'urgence absolue à légiférer en cette matière – , mais nous aurions tort de nous priver d'un carburant qui existe et qu'un certain nombre d'entreprises sont prêtes à commercialiser.