En introduction de la discussion qui s'ouvre, je vous demanderai de faire attention à l'utilisation de certains termes, parce que ce qui est brutal, monsieur le ministre délégué, ce sont, par exemple, les inondations meurtrières dans les Alpes-Maritimes, fruits du changement climatique. L'urgence est bien réelle. Nous ne pouvons pas faire comme s'il s'agissait de phénomènes au long cours que nous ne connaîtrons que plus tard. Nous vivons une situation d'urgence écologique et climatique absolue qui doit conduire la France à agir sans attendre !