Elle évoque les propositions de notre collègue : « Si le Parlement les adoptait, le pays montrerait plutôt la voie à ne pas suivre à ses partenaires internationaux, notamment à la Grande-Bretagne qui était sur le point d'annoncer une politique bien plus ambitieuse. Soutenir financièrement l'exploration de nouveaux gisements gaziers pendant encore quinze années reviendrait à verrouiller l'économie mondiale dans la dépendance aux hydrocarbures, au lieu d'appuyer sur la pédale de frein de toute urgence. »
Mes sous-amendements visent à mettre fin à ce jeu consistant à repousser à la Saint-Glinglin l'arrêt des dépenses d'argent public pour exploiter du pétrole et du gaz partout dans le monde au nom des intérêts de l'industrie française !