Je rappelle que les financements de la France en faveur des projets d'énergies fossiles ont bondi, écoutez bien, de 87 % sous l'actuel gouvernement, entre 2017 et 2019 ! C'est cela qui est en train de se passer.
Le sous-amendement no 3620 prévoit l'entrée en vigueur au 1er janvier 2021 des dispositions arrêtées à l'amendement no 3306 .
Le sous-amendement no 3621 vise à intégrer le transport d'hydrocarbures dans le périmètre des activités concernées, puisque l'amendement de M. Cellier n'inclut pas les terminaux GNL – gaz naturel liquéfie – , les pipelines, etc.
Le sous-amendement no 3624 supprime l'alinéa 6, c'est-à-dire le délai de quatre ans qui reporte encore l'échéance.
Le dernier, le no 3623, demande un rapport au Gouvernement sur la situation des industries parapétrolière et paragazière afin de mettre sur pied une stratégie de transition industrielle digne de ce nom et d'utiliser les compétences de ces salariés ailleurs que dans l'exploitation des énergies fossiles.