Aux yeux du groupe GDR, la proposition de loi constitue un renoncement à la police nationale car l'État se défausse d'une partie de ses responsabilités régaliennes. De plus, le texte pose des questions de droit essentielles : trois rapporteurs de l'ONU ont signalé le risque d'« atteintes importantes aux droits de l'homme et aux libertés fondamentales ».