Monsieur le Premier ministre, comment comprendre qu'il soit plus dangereux de marcher, courir ou rouler seul à vélo en forêt, que de prendre le métro aux heures de pointe ? Comment comprendre qu'il soit possible de mettre une soixantaine d'enfants dans le même bassin en cours d'EPS, mais qu'il reste interdit de reprendre des activités en petits groupes distanciés de moins d'une dizaine d'enfants ? Le Président de la République semble d'ailleurs vous avoir désavoué sur ce point.
Je veux ici relayer l'incompréhension et la colère des acteurs du monde sportif amateur et de millions de pratiquants quotidiens de tous âges.