Je rappelle que, dans les autres départements où de tels rassemblements ont été autorisés, aucun incident n'a été à déplorer. Monsieur le secrétaire d'État chargé de la transition numérique, je tiens à souligner que c'est bien le même préfet de police qui a autorisé le rassemblement d'hier, qui s'est ensuivi d'actes d'une violence extrême. Ce sujet concerne directement l'Assemblée, dont les travaux ont été perturbés. Plusieurs d'entre nous n'ont pu rejoindre l'hémicycle et certains collaborateurs ou administrateurs n'ont quant à eux pas pu quitter le site. Monsieur le président, je souhaite qu'avec le président Ferrand et le bureau vous vous empariez de ce sujet, et qu'il soit mis un terme aux agissements de ce préfet de police de funeste réputation.