Il a trait au déroulement de la séance et à la police de séance dont vous avez la responsabilité, monsieur le président.
En démocratie, il y a une majorité et une opposition. Il n'est a priori pas complètement illogique que l'opposition s'oppose, questionne, interroge et essaie d'obtenir des réponses. J'ai bien compris que vous aviez du mal à vous habituer à ce fonctionnement, mais, je le répète, cela s'appelle la démocratie.
Je souhaite que l'on arrête tout de suite les attaques personnelles à l'encontre de notre collègue Ugo Bernalicis. C'est indigne, ce n'est pas à la hauteur de l'Assemblée nationale. Allez donc dire aux 8 900 « gommeux » de la police nationale – ce sont à peu près les effectifs de son personnel administratif – qu'ils ne servent à rien ! Il n'est pas acceptable de s'en prendre personnellement à un collègue, au prétexte qu'il a une opinion différente de la vôtre et qu'il l'exprime dans son style.