Je remercie à mon tour les deux corapporteurs pour leurs avis favorables. J'ai eu la chance de rencontrer des chiens de travail et leurs maîtres ; les seconds ont une véritable passion pour l'éducation qu'ils donnent aux premiers et ils effectuent ensemble un travail extraordinaire. Nous devons penser – M. Loïc Dombreval l'a dit – à la retraite de ces chiens, qui effectuent un travail formidable au service de la République.
Ces chiens ne sont pas toujours en nombre suffisant ; il manque ainsi un chien pointeur dans le Finistère, monsieur le ministre. Si le problème pouvait être résolu, ce serait très bien.