Cet amendement, qui a été accepté par la commission, vise à permettre aux gardes champêtres de prescrire la mise en fourrière de véhicules encombrants, voire dangereux, qui se trouvent sur la voie publique ou dans la nature. Ce serait une bonne mesure.
C'est le dernier amendement que je défends sur le titre Ier, monsieur le ministre, et je tiens à vous dire qu'avant d'être élu dans cette enceinte, j'ai été pendant vingt-deux ans maire d'une petite commune alsacienne. Chez nous, dans nos territoires ruraux, on aime bien l'ordre, comme à Béziers d'ailleurs – je salue l'intervention de mon excellente collègue Emmanuelle Ménard à ce sujet. De notre point de vue, tous ces amendements relèvent du bon sens, et nous ne comprenons pas pourquoi vous n'entendez pas nos arguments ; c'est vraiment dommage.