C'est aussi dans ce contexte que nous évoluons ; nous pourrions avoir une pensée pour eux. Il faut bien comprendre que si nous rejetons cette demande des policiers, qui ne la font pas par plaisir mais parce qu'ils se sentent menacés, nous leur devons quand même protection – non pas celle qu'ils demandent, les cagoules, mais celle du droit. C'est, je l'espère, ce que nous faisons aujourd'hui.
Deuxièmement, je voudrais revenir sur l'intervention de M. Peu, qui contribue toujours avec conviction au débat public. Depuis trois jours que nous débattons, monsieur le député, nous avons eu de nombreux différends, mais en respectant chacun les arguments de l'autre.