C'est tout à fait clair et évident. Par conséquent, le texte tel qu'il est ne nous protège pas de telles interventions.
En connaissons-nous le risque ? Oui, monsieur le ministre. Vous avez dit qu'il nous fallait aimer les policiers, les gendarmes… Nous aimons tout le monde, tout le monde aime tout le monde, ce n'est pas le sujet.