Ainsi, l'article 24, même dans sa nouvelle rédaction, me semble remettre en cause le difficile mais nécessaire équilibre entre sécurité et liberté d'informer. C'est pourquoi, à titre personnel, je ne voterai pas pour. Je ne suis pas contre, car il aborde un enjeu majeur, la sécurité de nos forces de l'ordre, et que je partage la volonté qui l'anime de les protéger ; je ne suis pas pour non plus, car son équilibre général ne me semble pas assuré.