Sur la forme, tout d'abord : chaque année, les parlementaires doivent se prononcer sur le PLFSS afin d'organiser le financement de la sécurité sociale pour l'année à venir.
Les débats – je souhaite que ceux-ci soient constructifs et je suis sûre que nos collègues du groupe de la France insoumise ne se priveront pas d'y participer – permettent d'éclairer l'Assemblée ; libre à chacun de voter contre ensuite. Rejeter le texte avant la discussion n'aurait donc absolument aucun intérêt démocratique.