Pardonnez-moi de le dire ainsi, monsieur le rapporteur général, monsieur le ministre délégué, mais vous ne connaissez pas vraiment la situation. Les premiers concernés sont les exploitants indépendants – c'est moins le cas de ceux qui vendent leur raisin à un négociant ou sont adhérents d'une coopérative. Les cas les plus graves, à savoir ceux dans lesquels l'exploitant subit une perte de chiffre d'affaires supérieure à 40 %, méritent d'être pris en considération. Je ne comprends pas pourquoi vous voulez supprimer cette disposition plus que légitime.