Pierre Dharréville est toujours sage.
Je vous prie de m'excuser, car je sens que je vais réveiller certains de mes collègues, qui vont se mettre à hurler d'ici quelques secondes. Monsieur le rapporteur général, je m'inscris en faux contre ce que vous venez de dire. Vous affirmez que les amendements que nous examinons sont contraires à la position des SDIS. Or lorsque nous élaborons nos amendements, nous le faisons avec les personnes concernées. En tout cas, s'agissant de l'amendement no 178 , il a été rédigé en coopération avec les syndicats des SDIS. Je sais bien que quand le Premier ministre se déplace quelque part, il enferme les syndicats, mais, en ce qui nous concerne, nous travaillons avec eux. Je ne puis donc accepter l'argument selon lequel les SDIS seraient opposés à nos amendements ; ce n'est pas le cas.