Un tel procédé est honteux. Vous devriez être à l'écoute des associations et de leurs propositions d'amélioration du fonctionnement de l'État concernant ses devoirs envers les femmes, plutôt que remettre en question des associations et des dispositifs qui ont fait leurs preuves. Les places d'hébergement, par exemple : où sont-elles ? Qu'en est-il de la généralisation des tribunaux spécialisés ou encore du bracelet anti-rapprochement ?