Je vois que notre collègue est d'accord. Quoi qu'il en soit, l'existence d'un stock de sécurité permet de satisfaire deux exigences : relocaliser et aller dans le sens du plan de relance en se donnant les moyens de fabriquer des médicaments en France et en Europe, et sécuriser la situation des malades exposés aux ruptures de stocks. Paul Christophe a interrogé le Gouvernement sur ce point : le nombre de ruptures augmente – ce n'est pas nous qui le disons mais tous ceux qui connaissent bien ces questions, qui le disent avec insistance.