Pour ce qui est de la santé mentale et de la psychiatrie en particulier, il est en effet nécessaire que le rapporteur général et la ministre déléguée s'expriment afin que nous connaissions l'orientation prise. Comme l'a dit Mme Wonner, la santé mentale ne doit pas être négligée – et c'est ainsi que les acteurs du secteur le vivent au quotidien depuis de nombreuses années – mais être considérée en priorité. Nous avons constaté les effets redoutables des deux confinements sur la psychologie. Il est donc important de trouver un temps d'échange sur la question dans le cadre de l'examen du PLFSS.