Nous avons des convictions et nous souhaitons défendre les amendements qu'il nous reste, quitte pour cela à siéger jusqu'à une heure, deux heures ou trois heures du matin.
Mais cela, je le répète, nous conduit à faire un choix douloureux, car ce n'est pas respectueux du personnel. Ce n'est pas une question de fatalité, madame la présidente : le règlement intérieur prévoit des modes d'organisation qui nous permettraient de siéger dans de bonnes conditions.