Monsieur le rapporteur général, madame la ministre déléguée, vous serait-il possible d'améliorer la qualité de vos réponses ? Alors qu'il est ici question de la qualité de la prise en charge des patients en psychiatrie, j'ai l'impression que nous allons avoir droit à la même litanie de « défavorable » que lors de la première lecture. Je sais que nous arrivons à la fin du texte, mais je vous invite à élever un peu le niveau de vos réponses en ayant à l'esprit que 13 millions de nos concitoyens sont concernés, ce qui constitue un champ très important.