Je me reconnais complètement dans les propos de M. Hammouche et je pense que, si la question de la contention mérite qu'on s'y attarde, elle n'est pas la seule à revêtir une extrême importance : celles de l'accès aux soins, de la capacité à recevoir des malades en grande difficulté, ou encore du suivi des patients, mériteraient qu'on leur consacre un débat à part entière.
Pour ce qui est de l'amendement n° 1 , il prévoit la saisine automatique du juge des libertés et de la détention lors du renouvellement d'une mesure d'isolement ou de contention décidée par un psychiatre.