J'aimerais qu'on accorde du temps au débat, car nous parlons de sujets graves pour les personnes qui subissent ce type d'hospitalisation. À vous écouter, nous avons l'impression que tout est déjà prévu – peut-être, mais si nous insistons pour préciser certaines dispositions, c'est parce que le système dysfonctionne, que les libertés individuelles ne sont pas suffisamment protégées et que l'information des patients et des familles n'est pas suffisamment assurée. Il est important, ensemble, de légiférer en détail dans ce domaine, pour que les droits fondamentaux des personnes concernées soient respectés.