Monsieur le Premier ministre, au-delà des beaux discours, agissez vite et bien, car face à cette montée de l'extrême violence votre ministre de l'intérieur, auditionné hier en commission des lois, a expliqué que des policiers présents lors de ces manifestations manquaient de formation et d'équipements. Mettre à ce point en danger celles et ceux qui nous protègent est une faute, et l'émoi suscité par ces scènes choquantes fragilise la confiance de nos concitoyens envers leur police. Qu'attendez-vous pour enfin réinstaller l'ordre républicain et garantir notre État de droit ?