En effet, nous avons été extrêmement actifs depuis trois ans et demi sur le sujet, même si, bien entendu, il reste beaucoup à faire. J'ai évidemment lu le rapport de M. Balanant avec lequel j'ai pu discuter, et nous prendrons bien sûr des dispositions nouvelles. Cependant, je l'ai dit, nous avons déjà agi, en particulier grâce au plan « non au harcèlement » qui est actuellement en vigueur. Il a par exemple permis de désigner des ambassadeurs contre le harcèlement, des élèves responsabilisés au sein des établissements contre le harcèlement scolaire. Nous avons également créé des référents dans chaque académie et dans chaque département, soit 335 personnes dédiées à ce sujet, qui forment les élèves et les professeurs. Nous avons pour la première fois introduit la question de la lutte contre le harcèlement dans la législation, en l'inscrivant dans la loi du 26 juillet 2019 pour une école de la confiance : tous les nouveaux professeurs seront systématiquement formés à ces enjeux.
J'ai même pris la tête d'une forme de croisade internationale contre le harcèlement lorsque la France a présidé le G7 : nous avons fait une déclaration solennelle sur le sujet. La première dame de France est également impliquée sur cette question.
Le 07/12/2020 à 10:45, Laïc1 a dit :
...et il a fini...
Le 07/12/2020 à 10:34, Laïc1 a dit :
Que c'est compliqué tout ça. Dans le collège de mes enfants, une fille a été harcelée, elle a téléphoné à son père qui est venu direct au collège où il a fait un esclandre. La police est venue et il a finit au poste... Mais au moins sa fille est sûre qu'elle ne sera plus harcelée.
Plus efficace que "la première dame de France est impliquée sur cette question..."
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