Je ne comptais pas reprendre la parole, mais comme minuit approche et que je sens que ce texte, tel le carrosse du conte, risque de se transformer en citrouille, j'en profite pour répondre à quelques arguments.
Permettez que je m'adresse aux collègues de mon groupe pour leur dire que c'est ma faute. Je viens de comprendre qu'en commission les députés de la majorité ont passé un si mauvais moment, ils se sont retrouvés à ce point désemparés et cela a duré tellement longtemps qu'ils ont décidé de ne surtout pas remettre le couvert dans l'hémicycle. Tant pis pour les collègues qui ne participaient pas aux travaux de la commission et qui espéraient défendre des amendements ; …