Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le rapporteur général, monsieur le président de la commission des finances, chers collègues, nous voici à la fin d'une première étape majeure, non seulement pour cette discussion budgétaire, mais aussi pour ce quinquennat.
Il y a un peu plus d'un mois, nous, les députés du groupe La République en marche, nous sommes engagés ici à ce que ce budget soit la traduction des réformes que nous portons, un outil au service de la transformation de notre pays.
Un outil d'abord au service d'un travail qui paie ; un outil au service de l'investissement, avec des budgets de l'éducation et de l'enseignement supérieur et de la recherche en hausse ; surtout un outil pour tous nos concitoyens, salariés ou employeurs, auto-entrepreneurs ou fonctionnaires, gérants ou employés de TPE-PME, handicapés ou âgés, étudiants ou écoliers, mais également, n'ayons pas peur de le dire, pour tous les investisseurs qui contribuent à l'activité.
Ce budget est un texte sincère. Il nous permettra de sortir, comme l'a confirmé la Commission européenne, pour la première fois depuis 2009, de la procédure de déficit excessif. Cela demande des ajustements, cela demande des choix, cela demande des efforts.
Nous les faisons…