Marielle de Sarnez a réussi à redonner vigueur et corps à la commission des affaires étrangères, offrant à l'opposition la possibilité de s'y exprimer. Plusieurs textes ont été présentés dans l'hémicycle, ce qui n'était plus le cas – des textes importants, des conventions internationales, passaient vite fait bien fait sans qu'on en parle. L'opposition a pu s'exprimer d'une manière normale.
Cinq minutes ! Je viens d'apprendre que j'ai cinq minutes : je ne sais pas pourquoi, on est passé de dix à cinq minutes. S'il n'y avait qu'une seule raison de voter en faveur de la motion de rejet, ce serait pour bénéficier de cinq minutes supplémentaires pour exposer les idées du groupe Socialistes et apparentés sur un sujet aussi important. La possibilité pour l'opposition de s'exprimer a été réduite à cinq minutes, je ne sais pas par qui. C'est un problème ! Nous disposions de dix minutes il y a encore trois mois.