Le ministre de l'économie et des finances de l'époque, à qui nous avons rendu hommage hier, s'est bien débrouillé – tant mieux pour lui – , mais cette situation très particulière prête le flanc aux critiques. D'ailleurs, le président Erdogan, qui s'est encore déchaîné contre la France ce matin, s'est plusieurs fois indigné contre la persistance d'un franc colonial. Le groupe Socialistes et apparentés est très partisan d'oublier tout cela, de mettre fin à l'existence de ce franc, que j'ai qualifié en commission de suranné et connoté. Il est grand temps de s'en débarrasser. Ainsi, nous nous félicitons de cette réforme, comme l'on dit en politique, et je vous en félicite également – en général, les partis politiques se félicitent eux-mêmes de ce que font les autres, quand ils leur sont opposés.