C'est un avis favorable.
Eu égard à la situation difficile dans laquelle se trouvent nos pêcheurs, surtout si la perspective d'absence d'accord devait se confirmer, nous avons d'ores et déjà mobilisé un certain nombre de moyens – je pense notamment au FEAMP, le Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche, mais pas seulement. Le Premier ministre a eu l'occasion de dire aux pêcheurs, en particulier de Boulogne et de Calais, que l'État serait évidemment à leurs côtés. Notre objectif est qu'ils gardent l'accès aux eaux territoriales britanniques.
Nous considérons que les abattements et les mesures fiscales ici proposés seraient moins efficaces que les mesures directes que nous serions amenés à décider en cas de difficultés.