Bien sûr, sur tous les bancs de l'Assemblée, nous souhaiterions, chaque année, que plus d'amendements parlementaires soient adoptés, mais je veux vous remercier très sincèrement et saluer votre constance lors des discussions en séance. J'aurai également un mot pour notre rapporteur général, cher Laurent : c'était un défi que de succéder à Joël Giraud, et je crois pouvoir dire, sans le trahir, que vous n'avez pas failli. Merci, et bravo.