Ils aspirent que le repas à un euro leur soit servi deux fois par jour au lieu d'une seule aujourd'hui.
Madame la ministre, le malaise est général et le mal-être est profond dans les universités qui attendent un discours politique fort et des mesures ambitieuses. Entendez-vous cet appel ? Répondrez-vous enfin aux alertes constantes que lancent les organisations de jeunesse depuis des mois ?