Ce que nous proposons, c'est un pacte de confiance entre le Gouvernement et le Parlement. Au lieu de vous dire « partez de votre côté pendant plusieurs mois et nous nous reverrons en décembre », nous vous disons : « Puisque vous nous faites confiance et que nous vous faisons confiance, retrouvons-nous à l'occasion de chaque vague. » Au lieu de considérer que cette crise se terminera en décembre, attendons !
C'est l'objet d'un amendement de notre collègue Guillaume Larrivé qui sera examiné tout à l'heure : pourquoi ne pas nous retrouver à chaque vague ? Nous savons – cela semble à peu près probable – qu'il y aura une vague au printemps, mais pourquoi considérer qu'il y en aura forcément une à l'automne ? Organisons régulièrement des moments de débat ! Le pays en a besoin.