Il s'inscrit dans la continuité du débat que nous venons d'avoir, même s'il est formulé un peu différemment. M. Molac rappelait tout à l'heure les taux d'incidence observés dans sa circonscription. J'avoue l'envier quelque peu, car, dans l'Hérault, ces taux sont bien supérieurs à ceux qu'il indiquait, particulièrement à Béziers.
Il s'agit là, véritablement, d'une question de bon sens et de logique : les Français ne comprennent pas pourquoi on applique uniformément les mêmes solutions à un territoire dont les réalités sont si différentes d'un département à un autre, et même d'une ville à une autre. Il y va aussi, malheureusement, de la survie économique du pays.
Vous donnez toujours l'impression de vous entêter sur ces dispositions, qui ne sont pourtant que des mesures de bon sens et d'adaptation au plus près de la réalité du terrain. Encore une fois, je comprends difficilement que des propositions de ce type ne recueillent pas votre assentiment.