À mon tour, je remercie mon collègue Nicolas Turquois pour son travail pragmatique et enraciné qui est visiblement la marque de cette niche.
Je note une filiation avec la loi LAAF puisqu'il s'agit ici d'inscrire dans le dur une expérimentation qui avait été permise par cette loi. Nous rattrapons ainsi un accident légistique.
Il faut mesurer le caractère contraint de ce processus qui ouvre en fait une discussion, qui pourrait avoir lieu dans le cadre de l'élection présidentielle, sur un remembrement forestier permettant une exploitation optimale, tant du point de vue environnemental, phytosanitaire au vu des crises actuelles, qu'économique et social pour conforter nos filières.
Ce petit pas ouvre une grande discussion, un peu comme on vient de le voir lors de l'examen du texte précédent avec l'instauration d'une heure silencieuse dans les commerces.