Enfin, je remercie sincèrement chacun d'entre vous parce que, face aux catastrophes naturelles, nous avons besoin d'unité nationale. Je le disais en introduction, Jean Giraudoux a écrit : « Le privilège des grands, c'est de voir les catastrophes d'une terrasse. » Mesdames et messieurs les parlementaires, je constate que le privilège des députés, lors de journées comme celle-ci, c'est de voir l'unité nationale au service de vrais sujets et pour un accompagnement renforcé de nos concitoyens. Un grand merci pour la qualité des travaux et de nos débats !