Au regard des échanges que nous avons eus dans les groupes de travail que nous avons constitués avec des ministres et des députés pour travailler structurellement sur le soutien aux exportateurs, je pense qu'il vaut mieux attendre la loi en préparation. La loi de finances n'est pas toujours le meilleur endroit pour porter des réformes. Un cadre plus large permettra un meilleur impact.