Cela correspondait pourtant à la préconisation no 32 du plan national de prévention de radicalisation de février 2018, qui visait à encourager la systématisation des référents « radicalisation » dans les établissements de l'enseignement supérieur. À l'heure actuelle, mes chers collègues, près de vingt-cinq universités n'ont toujours pas de référent.