On voit bien les limites de votre raisonnement. Il faut que vous acceptiez l'idée que vous voulez changer la Constitution, quitte à forcer les choses en organisant un référendum – sur ce point, la cohérence de M. Ciotti est sans faille – , parce que vous considérez que l'islam pose des problèmes que ne pose aucune autre religion. Nous estimons, pour notre part, que la sphère spirituelle doit, comme partout, se séculariser, se « gallicaniser ».