M. Pupponi a pris l'exemple de Sarcelles, que je ne connais que par ce qu'il vient d'en dire. Mon avis personnel est le suivant : même en dehors des heures d'ouverture, une piscine est financée par l'argent public – les fluides, la construction, même les PPP, partenariats public-privé ; si une association demande des créneaux pour faire du sport selon des prescriptions religieuses, cela ne devrait pas se passer dans un lieu public.