J'entends vos propos monsieur le ministre, mais je pose la question suivante, qui n'est pas neutre : comment motiver le refus du prêt de salle ? Je parle du vrai refus, de la vraie motivation, pas des fausses excuses, comme celle qui consisterait à dire qu'il n'y a plus de place. Faut-il dire que nous ne voulons pas prêter la salle ou la piscine parce que nous considérons que l'association concernée ne respecte pas l'égalité entre les hommes et les femmes au nom d'une règle religieuse, et que cela nous gêne ?
Une explication de cet ordre vous expose à être condamné pour non-respect de la liberté de conscience. Comment alors motiver le refus ? On peut dire que cela nous gêne, que cela nous choque, …