J'ai le droit de dire qu'elle me choque, même s'il est le seul à la défendre !
Pour lever toute ambiguïté, monsieur le rapporteur général, je pose à nouveau ma question : si l'article 6 est adopté, une association qui ne fait aucun prosélytisme, qui ne met pas en cause l'ordre public, qui ne distribue pas de tract pour appeler à je ne sais quelle réunion, qui obtient une vacation dans une piscine uniquement pour que les femmes juives ou musulmanes se baignent entre femmes juives ou musulmanes, parce que cela correspond à leurs règles religieuses, sans l'imposer aux autres, sera-elle autorisée à poursuivre cette pratique ?
Le 16/02/2021 à 11:38, Laïc1 a dit :
Ce n'est le but des piscines publiques de favoriser le séparatisme.
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