… risquent d'être juge et partie. Il faut donc que les décisions d'adaptation soient prises par d'autres qu'eux. Il faut objectiver ! D'autre part, nous estimons que le Conseil scientifique ne doit pas se prononcer sur l'opportunité d'organiser ou pas les élections, mais seulement sur les adaptations nécessaires pour la tenue du scrutin. Voilà où l'on voit la cohérence du projet de la majorité, et celle des oppositions.
Des arguments pertinents ont été donnés. Nous l'avons dénoncé avec mon collègue normand Philippe Gosselin : vous vous êtes dotés, avec l'état d'urgence permanent, de principes exorbitants du droit commun, qui corsètent la démocratie et bousculent les équilibres des pouvoirs.