J'entends ce que vous dites, mais il s'agit de détecter une personne qui figure dans le fichier, et non de lui interdire d'enseigner s'il n'est pas condamné. Cela permettrait à l'éducation nationale de savoir qu'il existe un risque potentiel de terrorisme ou de radicalisation chez les parents et qu'il convient d'être plus vigilants. J'appelle donc à nouveau votre attention sur cette question.
Peut-être faut-il, comme le disait notre collègue, retravailler l'amendement, mais il ne faut pas interdire aux agents de l'éducation nationale d'avoir accès au FIJAIT pour vérifier si les parents ont bien toutes les capacités pour enseigner à leurs enfants.